• Boop project est une association qui communique de façon positive autour du cancer.

    Nous produisons et diffusons des contenus à partager sur les réseaux sociaux et dans les hôpitaux. 

    Le Dr Marion Aupomerol gynécologue & Edith Desmarais, patiente partenaire

    L'hormonothérapie : Qu'est-ce que c'est ?

    Saviez-vous qu’environ 70 % des cancers sont dit « hormono dépendant » ? C’est-à-dire que la croissance de leurs cellules est activée par des hormones.
    L’hormonothérapie est un traitement « anti hormonal » qui réduit le risque de récidive et qui n’est pas toujours bien suivie en raison des effets secondaires qu’il provoque. Ménopose, problèmes sexuels, bouffées de chaleur, douleurs articulaires, troubles cognitifs, prise de poids…

    Edith « En partageant mon témoignage sur les réseaux sociaux, je me rends compte que de nombreuses patientes arrêtent leur traitement, pour retrouver une qualité de vie « normale ». Pour éviter cela et puisque je dois prendre l’hormonothérapie pendant encore cinq ans, soit 10 ans au total, j’ai sollicité le Dr Marion Aupomerol, qui est gynécologue et qui a une consultation en santé sexuelle à l’Institut Gustave Roussy (Villejuif). Elle s’est montré à l’écoute, m’a apporté des explications, des solutions et j’ai eu envie de les partager. N’hésitez pas à partager à votre tour !
     
    Cette vidéo « Qu’est-ce que l’hormonothérapie », est la première d’une série de 4.

    Merci au DEPARTEMENT DE LA SEINE SAINT DENIS, au Dr Aupomerol de l’Institut Gustave Roussy, à Julien Bourhis à toute l’équipe de GONG PRODUCTION à Maxime Gaudet pour la réalisation.

    Dr Marion Aupomerol, gynécologue & Edith Desmarais, patiente partenaire

    L'hormonothérapie : Les différents traitements

  • Le Dr Marion Aupomerol gynécologue & Edith Desmarais, patiente partenaire

    L'hormonothérapie : Les effets secondaires & les ressources

     La maladie et les traitements liés au cancer altèrent bien souvent l’image et la confiance en soi. Quand on se sent moins bien dans notre corps, on peut aussi avoir du mal à aller vers l’autre et cela peut impacter la relation de couple.
    Faute de trouver des solutions, certaines femmes préfèrent arrêter leur traitement d'hormonothérapie et risquer une récidive du cancer pour retrouver une vie sexuelle convenable.

    Dans ce nouvel épisode, le Dr Marion Aupomerol nous parle des effets secondaires de l'hormonothérapie et elle répond aux questions suivantes : je dois m’attendre à quoi comme impact sur ma vie sexuelle ? Quelles sont les pistes d’amélioration ?
    Le Dr Marion Aupomerol est gynécologue sexologue à Gustave Roussy et en assistant à ses consultations en santé sexuelle, j’ai tout de suite été séduite par la qualité d’écoute et par sa façon d’aider les patientes qui sont en souffrance. J’ai eu envie de partager ces informations.


    Cette vidéo « L’hormonothérapie, « Les effets secondaires et les ressources », est la troisième d’une série de 4.
    N’hésitez pas à partager pour aider des personnes de votre entourage.
    Merci au DEPARTEMENT DE LA SEINE SAINT DENIS, au Dr Aupomerol de l’Institut Gustave Roussy, à Julien Bourhis à toute l’équipe de GONG PRODUCTION à Maxime Gaudet pour la réalisation.

    Dr Marion Aupomerol, gynécologue & Edith Desmarais, patiente partenaire

    L'hormonothérapie : Franchir le cap !

    Edith Desmarais, patiente partenaire : « Ce qui me faisait très peur en prenant l’hormonothérapie, c’était de prendre 15 kg.

    En réalité, j’en ai pris 4kg et après avoir consulté un diététicien, je me suis rendu compte que l’hormono avait bon dos. Après avoir diminué le nombre d’apéro et recommencé l’activité physique régulière, ça va mieux. » Comment ça se passe pour vous ?


    L’hormonothérapie est un traitement anti-hormonal qui réduit le risque de récidive du cancer d'environ 50% et qui peut avoir comme effet secondaire, la prise de poids.

    Dr Marion Aupomerol : « Il peut y avoir des petites variations de poids. Pour éviter que ça varie trop, c’est important de manger sainement. On peut avoir de l’aide d’un diététicien, d’un nutritionniste et puis surtout pratique une activité physique adapté régulière.
    Le but est de vous suivre régulièrement et de réévaluer pour voir comment ça se passe avec l’hormonothérapie, de trouver des solutions s’il y a des difficultés… »

    Cette vidéo « L’hormonothérapie : je franchis le cap » est la 4ème et dernière vidéo de la série.

    Merci au DEPARTEMENT DE LA SEINE SAINT DENIS, au Dr Aupomerol de l’Institut Gustave Roussy, à Julien Bourhis à toute l’équipe de GONG PRODUCTION à Maxime Gaudet pour la réalisation.

  • Le Dr Suzette Delaloge

    La spécialiste du cancer du sein s'exprime sur l'alliance thérapeutique, lors de l'annonce.

    Et si l'alliance thérapeutique était une solution pour permettre aux patients de mieux envisager les traitements ? 

    J’ai l’honneur de vous présenter nul autre que le Dr Suzette Delaloge, qui est médecin oncologue, à l’Institut Gustave Roussy. Suzette nous partage son expérience en tant que médecin oncologue, notamment dans l’annonce et l’accompagnement du diagnostic d’un patient. Un métier prenant, sensible et engageant qu’elle pratique à travers l’alliance thérapeutique. 

    Un grand merci au Dr Delaloge, à GONG PRODUCTION et à Lilly France.
     

    Nathalie Savariaud

    Lutter contre la précarité lié au cancer, avec la présidente de l'association LIFE

  • Cancer et précarité

    L'annonce tombe et vous êtes au fond du lit. Vous devez tout gérer, la maladie, le quotidien, bref, il faut continuer à vivre !

    Vos revenus baissent ;

    Ou pire, vous vous retrouvez sans revenus et vous n’avez plus de quoi vous nourrir et/ou loger votre famille... Bref, la situation est urgente !

     

    Découvrez en images Nathalie Savariaud, ancienne patiente, et président fondateur de l'association LIFE. Elle nous raconte la précarité dans laquelle elle est tombée suite à son cancer et comment son asso se mobilise pour que les choses changent !

     

    Elle parle de l'aide concrète que l'association apporte aux patients touchés par tous types de cancers et de l'outil PRISC.A, qui vise à aider les travailleurs sociaux à repérer les signes d'urgence d'un patient en difficulté. Ce sera, à la fois, une plateforme de gestion sociétale pour aider les travailleurs sociaux à accompagner les patients atteints de cancers ou en ALD (Affection longue Durée), et une appli pour les patients, les aidants et le grand public.

     
    Pour voir la suite des interviews, rdv mercredi prochain à 8h, sur le compte @Boopproject et @Edith Desmarais
    Un grand merci au Dr Delaloge, à Gong production et à Lilly France.

    Le Dr Marion Aupomerol

    La gynécologue et sexologue, s'exprime sur la santé sexuelle pendant et après un cancer.

    Cancer & sexualité

    La sexualité est déjà tabou en général… alors imaginez si on y ajoute la maladie !!!

    Les traitements lourds peuvent avoir un impact sur l’image que l’on a de soi et

    il peut y avoir des répercussions physique comme :

    la peur d’avoir mal,
    ️la baisse de désir,
    ️la perte des sensations
    ️les douleurs pendant les rapports sexuel…

    Découvrez, dans cette interview le témoignage du Dr Marion Aupomerol, gynécologue médical et sexologue à Gustave Roussy, qui nous livre son témoignage et nous apporte des pistes pour améliorer notre bien-être.

    Pour voir la suite des interviews, rdv mercredi prochain à 8h, sur le compte Edith Desmarais et Boopproject. Un grand merci au Dr Aupomerol, à GONG PRODUCTION et à Lilly France.

    Isabelle Huet

    Directrice générale de l'association RoseUp

    Isabelle Huet s'exprime sur l'expérience patient.

    Les soins de supports pendant et après un cancer

     

    Devinez qui accueille et informe TOUTES les femmes touchées par TOUT TYPE DE CANCER dès l'annonce de la maladie, pendant et 1 an après les traitements, pour les bichonner, leur redonner confiance,

    leur apporter des informations et une réelle bouffée d’air ?


    Je parle de l'association RoseUp avec ses Maisons RoseUp de Bordeaux, Paris

    et à distance sur M@ Maison RoseUp et bien sûr de Rose magazine !!!

    Dans cette Interview d'Isabelle Huet, directrice générale de RoseUp, découvrez son engagement qui participe à améliorer la condition des femmes qui traverse la maladie, à travers 3 missions qui sont :

    Accompagner, informer, défendre les droits des femmes.

    Pour voir la suite des interviews, rdv mercredi prochain à 8h, sur le compte Edith Desmarais et Boopproject.

    Un grand merci a Isabelle Huet, de l'Association RoseUp, à GONG PRODUCTION et à Lilly France.

  • Veronique Gerat-Muller,

    psychologue et créatrice d'onCOGITE

    La spécialiste s'exprime sur les troubles cognitifs, liés aux traitements du cancer.

    Les troubles de la mémoires et l'oncobrain.

    Vous avez eu un cancer et une fois les traitements lourds fini : 

    ️vous raccrochez le téléphone, vous ne savez déjà plus l’horaire de votre rdv médical…

    vous n’arrivez plus à faire deux phrases sans chercher désespérément vos mots…

     

    Pas de panique, des solutions existent.

    Dans cette ITW, Véronique Gérat Muller, psychologue et créatrice d’onCOGITE, nous partage son engagement dans la prise en charge des troubles cognitifs liés au cancer et aux traitements oncologiques. Une méthode efficace, pour palier

    aux troubles de la mémoire, appelé "oncobrain".

     

    Pour voir la prochaine interview, rdv mercredi prochain à 9h, sur le compte Edith Desmarais et Boopproject. Un grand merci la psychologue Véronique Gerat-Muller, à GONG PRODUCTION et à Lilly France.

     

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  • Chauve qui peut !

    Cancer du sein: Chauve et Bikers, tous solidaire !

    Quand j'ai eu mon cancer du sein et tout au long de mes traitements de chimiothérapie,

    j'ai sollicité l'aide d'amis, pour garder un lien social. Dès que ma santé me le permettait, j'accompagnais mon conjoint à la Mécanique Du Local,

    un lieu où les passionnés de moto se réunissent !

     

    Nos copains bikers étaient au courant pour mon cancer du sein, mais je n'avais jamais osée montrer mon crâne nu, au Motoclub.

     

    Un pet au casque

    Si j'appréciais de faire des balades à moto, le moment de l’apéro et des pauses cafés devenaient sources d’angoisses.

    Impossible de retirer mon casque, sans me retrouver crâne nu, perruque collée au fond de l’intégral !!!

    Donc soit t’assumes de te montrer « boule à zéro », soit tu gardes ton casque mais alors, ce n’est pas évidement au moment de l’apéro et pas très convivial non plus...

    surtout avec un casque intégral !

     

    Autre inconvénient, avec ou sans perruque, le volume des cheveux est de toute façon différent et le casque qui m’allait parfaitement avant la chimio devient trop grand ! :((((

     

    Passoire thermique

    Avant d’avoir mon cancer, je taquinais gentiment les hommes au crâne luisant.

    Mais après 6 mois sans un poil sur le caillou, j’évitais les mauvaises blagues.

    Les chevelus ne peuvent pas le deviner mais quand on n’a plus cheveux, il fait super froid l'hiver.

    Perso, je mettais soit 2 bonnets un par dessus l’autre ou un bonnet sous mon turban. Et l’été, ce n’est pas mieux. Il fait moins chaud, mais gare aux coups de soleil !

     

    Chauve et Bikers, tous solidaires

     

    J'ai été surprise de constater que ce ne sont pas forcément ceux que l'on croit qui répondent à l'appel.

    Je remercie les motards au grand coeur qui ont répondu à mon appel de phare !

     

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    La chimiothérapie: Le festival de cam’

    Soyons réalistes, continuons de rêver !

     

    C’est lors de mon avant-dernier traitement de chimiothérapie que je tourne le tout premier film, «Le festival de CAM’».

    C’est ma belle-fille Jeanne Picard Depalle qui tient la caméra de mon smartphone.

     

    À cette époque, le festival de Cannes fait l’actualité. J’ai envie de casser les codes du cancer et de me représenter glamour,

    comme une star de l’hôpital, à un moment de ma vie où je suis tout à l’opposé.

     

    Au bout de 5 mois de traitements, mes idées redeviennent claires et je regagne de l’énergie. J’ai 5 kg en moins, des paillettes plein les yeux

    et me voilà grimée en star, j’improvise un défilé de mode accompagnée de ma perfusion dans les couloirs de l'institut Gustave Roussy de Villejuif...

    la montée des marches du festival de Cannes attendra !

     

    Une petite chimio et c’est reparti mon kiki !

     

    De tous les traitements, la chimiothérapie est ce que j’appréhendais le plus. C’est l’assurance de subir d’importants effets secondaires

    alors que jusque-là, là maladie était indolore et invisible.

    Moi qui évite toujours de prendre des médicaments, la chimiothérapie ce n’était pas pour moi !

    Mais quand j’ai pensé à mes 2 enfants et à ceux que j’aime, j’ai eu peur de mourir.

     

    Les neuropathies me coupent les mains !

     

    Vers la 10 ième séance de chimiothérapie des neuropathies apparaissent dans les mains et les pieds.

    Ça se manifeste par des pertes de sensibilités et un manque de force...

    moi qui suis illustratrice, j’ai du mal à tenir mon crayon pour dessiner... (gros stress) !!!

     

    Pour diminuer ces gênes, je négocie avec mon oncologue une réduction des doses et cerises sur le gâteau,

    elle me dispense d’une cure. J’ai la sensation de faire l’école buissonnière ;))))

     

    C’est à cette période que j’ai idée de faire des vidéos sur le cancer du sein.

    En premier, c’est pour me souvenir d’un moment qui fut pour moi très éprouvant.

    Et puis je me suis rendu compte que partager mon expérience pouvait aider d’autres femmes.

     

    En résumé, la chimio n’est pas une partie de plaisir, mais ça finit toujours par s’arrêter et surtout, ça peut te sauver la vie !

     

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    Cancer du sein: 

    la repousse des cheveux après la chimiothérapie, osez l'originalité !

    Quand j’ai appris que j’allais avoir 6 mois de chimiothérapie, la première chose à laquelle j’ai pensé, c'est à la perte de mes cheveux,

    alors que le plus important c'est la repousse ; )))

     

    Nous sommes nombreuses à nous être posés la question de la repousse des cheveux, des cils et des sourcils après la chimiothérapie,

    c'est comme ça que j'ai eu l'idée de me filmer pendant une année complète.

    Le top départ a été la dernière injection de chimiothérapie et au fil des semaines et des mois, j'ai pris plaisir à comparer les images et je m'amusais de voir mon évolution.

    D'une semaine à l'autre, j'étais impatiente de filmer la suite de la repousse de mes cheveux !

     

    Aujourd'hui je transmets à mes soeurs de combat mon témoignage, pour redonner espoir.

     

    De boucle d’or à Gollum

     

    J’ai toujours eux de belles boucles blondes. Enfant, on m’appelait boucle d’or.

    Autant vous dire que cette annonce apocalyptique a chamboulé l’image que j’avais de moi. J'allais passer de boucle d'or à Gollum*.

     

    Trois semaines après ma première injection de chimiothérapie, je me suis réveillée avec une sensation d’avoir mal aux cheveux.

    C’est comme ça que j’ai su qu’ils allaient tomber. J’ai préférée tout raser plutôt que d'avoir 2 ou 3 touffes de cheveux ici et là.

    Pendant les 6 mois qui ont suivi, j'ai eu un léger duvet sur le crâne, comme un kiwi.

     

    Les cheveux sont un symbole fort de la féminité et entre mon sein que j’allais perdre et mes cheveux qui allaient tomber,

    j’avais l’impression qu’il n’allait rien rester de mon image de femme.

    J’avais tort!

     

    La repousse des cheveux après la chimiothérapie

     

    Un mois après l’arrêt des traitements, un duvet blanc optique a recouvert mon crâne, alors que j’avais toujours été blonde.

    Quand mes cheveux ont atteints 1,5 cm de longueur, j’ai tout rasé à nouveau.

     

    Six mois plus tard la couleur s’est stabilisée en blonds/blancs et j’ai retrouvée la même texture de cheveux qu’avant.

    Quant à mes cils et sourcils, ils ont repoussés trois mois après l’arrêt de la chimio.

     

    Scandale pour une coupe ratée !

     

    Depuis que mes cheveux repoussent, je teste plusieurs coupes que je n’aurais jamais osée faire avant et

    j’ai adoptée un look plus rock. Maintenant si le coiffeur rate sa coupe, ce n'est pas grave.... car j’ai des cheveux ; ))))

    Et dire qu'avant j’aurais fait un scandale pour une coupe ratée !

     

    J’ai toutefois découvert un aspect pratique à l’alopécie. La piscine sans bonnet, c’est génial !

     

    *Gollum est un personnage fictif du légendaire créé par l’écrivain britannique J. R. R. Tolkien et qui apparaît dans ses romans Le Hobbit et Le Seigneur des anneaux

     

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    Cancer du sein: Bien choisir sa perruque 

    Brune, blonde, rousse... ou chauve, l’important c'est d’être bien dans sa peau !

    Adieu les paillettes, bonjour la quatrième dimension !

     

    En 2018, j’ai été atteinte d’un cancer du sein, j’allais devoir faire six mois de chimiothérapie et perdre ma belle chevelure blonde et bouclée.

    Moi qui adore les paillettes et le glamour, un monde s’écroule !

     

    L’impact que le cancer a sur l’image de soi est ENORME.

    D'autant qu'en plus des cheveux, cils et sourcils tombent aussi. Tous mes repères ont volé en éclats !

     

    Salon de coiffure spécialisé en oncologie : ma première fois

     

    Mais bien avant que les traitements débutent, je suis entrée pour la première fois dans un salon de coiffure spécialisé en oncologie.

    Je portais encore le poids de l’annonce de la maladie. J’étais en plein déni et autant dire que je n'avais pas le coeur à rire.

    J’allais sombrer dans la quatrième dimension... celle des cancéreux !

     

    L’envie de me fondre dans le décor

     

    Mon idée était d’investir dans une prothèse capillaire similaire aux cheveux que j'avais toujours eux.

    Mais malgré des heures de recherche, impossible de trouver la perruque idéale.

    Certaines étaient trop typées afro et avec d’autres, j'avais carrément l’air d’un clown !

     

    Finalement j’ai opté pour une prothèse capillaire courte, très différente de mon look précédent.

    J’ai portée ma perruque 3 ou 4 fois et quand mes sourcils et cils sont tombés, je l'ai mise de côté et utilisé une frange montée sur un serre tête recouvert d'un turban.

     

    S’accepter, c’est un pas vers la guérison !

     

    Après 6 mois d'alopécie, j'avais passé un cap. Mes traitements de chimiothérapie étaient finis.

    J'ai eu envie de me filmer avec toute une panoplie de perruques… je retrouvais suffisamment de recul pour m'en amuser !

    Et alors là, après des mois passés sans un poil sur le caillou, quelle joie ce fut de sentir les mèches de cheveux me chatouiller à nouveau le cou !

     

     

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    Cancer du sein : Le club médoc '

    Le remake de mes vacances passées à l'hôpital 

    Le film « Le club Medoc’», a été tourné en amont de mes traitements contre le cancer du sein.

     

    C'est un remake de mes vacances passées aux urgences.

     

     

    Mon conjoint et moi avions prévu de partir en Italie. Après une année de traitements lourds, j'attendais ses vacances avec impatience, mais suite à une infection pulmonaire liée à la radiothérapie, je me suis retrouvé aux urgences.

     

    Mon conjoint était tellement inquiet de me voir si mal en point, que son cœur en est tombé malade. Ça lui a valu un séjour à l’hôpital en même temps que moi. Normal quand on a le cœur brisé !

     

    Nos proches sont indirectement impactés par la maladie. Ils sont les dommages collatéraux et subissent eux aussi une bonne dose de stress…

    jusqu’à nous suivre parfois jusqu’au fond du lit d’hôpital.

     

    Comme je ne me voyais pas rester sur des vacances foireuses, j'ai eu l'idée d'en faire un remake.

    Quand j'ai sollicité nos amis, ils ont tout de s uite répondu à présent. C'est un bel élan de solidarité !

     

    Merci également au personnel de l'Institut Gustave Roussy qui a accepté de nous laisser tourner aux Urgences

    et aussi d'installer notre toile de tente dans l'hôpital !

     

     

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